Liens Internet

    Il existe peu de liens très intéressants en français sur les Tamouls de Sri Lanka. On trouvera bien sûr quelques sites personnels, essentiellement touristiques, sur le pays (par exemple : Sri Lanka, la Larme de l'Inde), de même que quelques pages au sein de sites plus importants. Retenons malgré tout :

• Paris Tamil : un pur produit de la nombreuse communauté tamoule sri lankaise de la capitale française, avec des rubriques variées.
• Temple Hindou : le site du temple hindou de Paris, lui aussi intimement lié à la même communauté.
• Suriyakantha : Le très riche site de l'association culturelle franco-sri lankaise du même nom.

     Par contre il y a profusion de sites en anglais et, à un degré moindre, en tamoul. Ces sites sont souvent produits par les Tamouls eux-mêmes, membres de la diaspora. On ne s'étonnera donc pas que certains d'entre eux expriment des opinions proches des indépendantistes.

• The Island : le site d'un journal anglophone sri lankais qui, lui, n'est pas vraiment pro LTTE.
• Dinamani : un autre journal, mais en tamoul, basé en Inde.
• Lanka Page : des nouvelles fraîches du pays, mises à jour quotidiennement.
• Tamil Net : un riche site d'informations sur les actualités tamoules du monde entier.
• Tamil World : un portail ouvert sur la culture tamoule contemporaine.
• Tamil Nation : un site de la diaspora en Angleterre.
• Eelam Nation et Eelam.com : deux sites, surtout le second, diffusant les opinions et l'idéologie des indépendantistes.

     Terminons par le site (anglophone) qui évoque le film This is my Moon, d'Asoka Handagama. Sortie prévue en France le 30 octobre 2002. Voici ce qui en est dit sur le site de RFI : "L'histoire: une nuit, un poste au nord du Sri-Lanka, en plein conflit avec les rebelles tamouls. Un soldat cingalais déserte, une femme tamoule dont il a abusé le suit. Un petit village à l'abandon suspendu dans l'attente. Une terre inexploitable, de petits trafics pour tout emploi, les femmes dans l'espoir du retour des hommes partis combattre. Un équilibre précaire où l'humour se le dispute au dérisoire, où l'amour se joue de l'absurde. Par leur irruption étrange dans ce cycle fragile, le déserteur et sa compagne bousculent un ordre déjà bien défaillant… «D'une guerre l'autre: par-delà les larmes, la splendeur captive», «une splendeur aux accents imprévisibles et envoûtants» ont écrit les Cahiers du Cinéma sur ce film."

     Si vous connaissez un lien susceptible de figurer sur cette page, n'hésitez pas à me le signaler, cliquez.